Février 2024 - Opéra de Saint-Etienne
Zurga, dans Les Pêcheurs de perles, de G. Bizet
"C’est le baryton Philippe-Nicolas Martin en Zurga qui domine le plateau masculin. Son instrument se montre solide, sainement et vaillamment projeté et d’une qualité homogène sur l’étendue de la tessiture. Son grand air du troisième acte (« Ô Nadir, tendre ami de mon jeune âge ! ») constitue dans ces conditions l’un des sommets de la soirée, doté d’une forte charge émotionnelle."
- Irma Foletti, www.bachtrack.com/fr
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin impressionne davantage encore et illumine véritablement la soirée. La très grande beauté du timbre, comme son impeccable projection, la noblesse de la stature, tout séduit et confirme la position de premier plan de ce jeune chanteur français déjà confronté à Wagner avec succès sur les mêmes planches."
- Jean-Luc Clairet, www.resmusica.com
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin est le type-même de baryton à la française, capable de beau chant émaillé de quelques obstacles perfides solidement affrontés. Il faut souligner sa maîtrise de l’art moins spectaculaire mais tout aussi difficile de la déclamation lyrique. Il parvient ainsi à insuffler quelque puissance dramatique à des récitatifs musicalement beaux et textuellement à la limite de l’indigence. Ce n’est pas un mince exploit. Ce souci de maintenir une déclamation lyrique bien conduite est assez impressionnante dans la façon dont est mené le récit sur lequel débute « au fond du temple saint."
- Gérard Loubinoux, www.resonances-lyriques.org
"Homme du devoir et du pouvoir, Zurga est chanté par Philippe-Nicolas Martin. Il impose d’emblée son personnage, puissant, dont le sacrifice ultime permettra aux amants d’échapper à la mort. La voix est sonore, le timbre riche. Il sait se faire viril comme arrogant, nuancé. Accablé, il nous émeut dans « O Nadir, tendre ami de mon jeune âge ». Son duo déchirant avec Leïla « Je frémis, je chancelle » comme son ultime intervention ne peuvent laisser indifférent."
- Yvan Beuvard, www.forumopera.com
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin installe pleinement ses manières virulentes (de repousser des rangées de chaises pour montrer sa colère), et sa voix au grain nourri de matières sonores et charnues."
- Pierre Géraudie, www.olyrix.com
"Il revient d’abord au hardi Zurga du baryton Philippe-Nicolas Martin de se présenter clairement en voix sur la ligne de départ, en route pour une performance magistrale en donnant au rôle un tour rarement aussi humain et costaud."
- François Cavalliès, www.anaclase.com
Zurga, dans Les Pêcheurs de perles, de G. Bizet
"C’est le baryton Philippe-Nicolas Martin en Zurga qui domine le plateau masculin. Son instrument se montre solide, sainement et vaillamment projeté et d’une qualité homogène sur l’étendue de la tessiture. Son grand air du troisième acte (« Ô Nadir, tendre ami de mon jeune âge ! ») constitue dans ces conditions l’un des sommets de la soirée, doté d’une forte charge émotionnelle."
- Irma Foletti, www.bachtrack.com/fr
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin impressionne davantage encore et illumine véritablement la soirée. La très grande beauté du timbre, comme son impeccable projection, la noblesse de la stature, tout séduit et confirme la position de premier plan de ce jeune chanteur français déjà confronté à Wagner avec succès sur les mêmes planches."
- Jean-Luc Clairet, www.resmusica.com
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin est le type-même de baryton à la française, capable de beau chant émaillé de quelques obstacles perfides solidement affrontés. Il faut souligner sa maîtrise de l’art moins spectaculaire mais tout aussi difficile de la déclamation lyrique. Il parvient ainsi à insuffler quelque puissance dramatique à des récitatifs musicalement beaux et textuellement à la limite de l’indigence. Ce n’est pas un mince exploit. Ce souci de maintenir une déclamation lyrique bien conduite est assez impressionnante dans la façon dont est mené le récit sur lequel débute « au fond du temple saint."
- Gérard Loubinoux, www.resonances-lyriques.org
"Homme du devoir et du pouvoir, Zurga est chanté par Philippe-Nicolas Martin. Il impose d’emblée son personnage, puissant, dont le sacrifice ultime permettra aux amants d’échapper à la mort. La voix est sonore, le timbre riche. Il sait se faire viril comme arrogant, nuancé. Accablé, il nous émeut dans « O Nadir, tendre ami de mon jeune âge ». Son duo déchirant avec Leïla « Je frémis, je chancelle » comme son ultime intervention ne peuvent laisser indifférent."
- Yvan Beuvard, www.forumopera.com
"Le Zurga de Philippe-Nicolas Martin installe pleinement ses manières virulentes (de repousser des rangées de chaises pour montrer sa colère), et sa voix au grain nourri de matières sonores et charnues."
- Pierre Géraudie, www.olyrix.com
"Il revient d’abord au hardi Zurga du baryton Philippe-Nicolas Martin de se présenter clairement en voix sur la ligne de départ, en route pour une performance magistrale en donnant au rôle un tour rarement aussi humain et costaud."
- François Cavalliès, www.anaclase.com
Octobre 2023 - Wexford Opera Festival
Pierre de Ruys, dans L'Aube rouge, de Camille Erlanger
"Philippe-Nicolas Martin was impressive as de Ruys and he seemed a better match for Soare in the scene where she pleads with him to save her lover. Martin captured the conflicted elements of the character and his strong baritone voice projected forcefully against large orchestral forces."
- www.seenandheard-international.com
"Philippe-Nicolas Martin made a very persuasive impression as the doctor-left-in-the-lurch, Pierre de Ruys. Although the exposition of his role is seriously under-written, Mr. Martin seemed to ably fill in the blanks, his pliants, burnished baritone eliciting empathy, and ringing out with conviction, pain, and compassion. He was arguably the evening's most fully realized and beautifully vocalized performance."
- www.operatoday.com
Pierre de Ruys, dans L'Aube rouge, de Camille Erlanger
"Philippe-Nicolas Martin was impressive as de Ruys and he seemed a better match for Soare in the scene where she pleads with him to save her lover. Martin captured the conflicted elements of the character and his strong baritone voice projected forcefully against large orchestral forces."
- www.seenandheard-international.com
"Philippe-Nicolas Martin made a very persuasive impression as the doctor-left-in-the-lurch, Pierre de Ruys. Although the exposition of his role is seriously under-written, Mr. Martin seemed to ably fill in the blanks, his pliants, burnished baritone eliciting empathy, and ringing out with conviction, pain, and compassion. He was arguably the evening's most fully realized and beautifully vocalized performance."
- www.operatoday.com
Mai 2023 - Opéra du Capitole de Toulouse
Junius, dans The Rape of Lucretia, de B. Britten
"Le Junius de Philippe-Nicolas Martin montre une ductilité insolente".
- Emmanuel Dupuy, www.diapasonmag.fr
"Le Junius de Philippe-Nicolas Martin imprime au rôle une belle ligne vocale, contrastée et puissante."
- www.wanderersite.com
"Dans le rôle de Junius, Phlippe-Nicolas Martin explose de virilité avec son baryton ravageur qui couvre parfois Tarquinius, son compagnon d'armes."
- www.claccic-c-cool.com
"Le baryton aigu de Philippe-Nicolas Martin permet un superbe Junius."
- www.concertclassic.com
"En Junius, Philippe-Nicolas Martin incarne la virilité toxique (le jaloux qui attise la bestialité de Tarquin), par sa vocalité et son engagement physique."
- Sabine Teulon Lardic, www.premiereloge-opera.com
Junius, dans The Rape of Lucretia, de B. Britten
"Le Junius de Philippe-Nicolas Martin montre une ductilité insolente".
- Emmanuel Dupuy, www.diapasonmag.fr
"Le Junius de Philippe-Nicolas Martin imprime au rôle une belle ligne vocale, contrastée et puissante."
- www.wanderersite.com
"Dans le rôle de Junius, Phlippe-Nicolas Martin explose de virilité avec son baryton ravageur qui couvre parfois Tarquinius, son compagnon d'armes."
- www.claccic-c-cool.com
"Le baryton aigu de Philippe-Nicolas Martin permet un superbe Junius."
- www.concertclassic.com
"En Junius, Philippe-Nicolas Martin incarne la virilité toxique (le jaloux qui attise la bestialité de Tarquin), par sa vocalité et son engagement physique."
- Sabine Teulon Lardic, www.premiereloge-opera.com
Juin 2023 - Opéra de Rouen
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin ne passe pas lui non plus inaperçu : c’est la voix qui séduit ! La ballade de la reine Mab est interprétée avec allant, d’un solide timbre de baryton aux éclats de bronze qui n’exclut pas les nuances et l’allégement indispensable de certaines notes de passage. Le combat avec Tybalt est un des points d’acmé de la partition : Philippe-Nicolas Martin y est d’une présence incandescente et la justesse de ses imprécations témoigne d’une incarnation habitée de son personnage."
- Nicolas Le Clerre, www.premiereloge-opera.com
"Face à eux, le Mercutio du baryton Philippe-Nicolas Martin nous offre une dynamique et brillante Ballade de la Reine Mab."
- Patrie Imbaud, www.resmusica.com
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin ne passe pas lui non plus inaperçu : c’est la voix qui séduit ! La ballade de la reine Mab est interprétée avec allant, d’un solide timbre de baryton aux éclats de bronze qui n’exclut pas les nuances et l’allégement indispensable de certaines notes de passage. Le combat avec Tybalt est un des points d’acmé de la partition : Philippe-Nicolas Martin y est d’une présence incandescente et la justesse de ses imprécations témoigne d’une incarnation habitée de son personnage."
- Nicolas Le Clerre, www.premiereloge-opera.com
"Face à eux, le Mercutio du baryton Philippe-Nicolas Martin nous offre une dynamique et brillante Ballade de la Reine Mab."
- Patrie Imbaud, www.resmusica.com
Mars 2023 - Opéra municipal Maria Calas (Athènes)
Oreste, dans Iphigénie en Tauride, de C. W. Glück
"Bien plus attentifs au texte, passant mieux l'orchestre aussi, Philippe-Nicolas Martin (Oreste) et Pylade sont les vrais héros de l'affaire. Leurs deux timbres se marient et se complètent idéalement, leurs lignes se suivent aisément, leur expréssivité ne sombre jamais dans le superfétatoire, laissant la musique maîtresse légitime des lieux."
- Anne Ibos-Augé, www.diapasonmag.fr
"Los grandes cantantes de la noche fueron, sin duda, Juan Francisco Gatell como Pylades y el Orestes de Philippe-Nicolas Martin. El primero hizo gala de un fraseo elegantísimo y una musicalidad excelsa, amén de una dicción impecable. Martin gustó mucho, también, por un timbre evocador y por su entrega dramática."
- Albert Garriga, www.operaactual.com
Oreste, dans Iphigénie en Tauride, de C. W. Glück
"Bien plus attentifs au texte, passant mieux l'orchestre aussi, Philippe-Nicolas Martin (Oreste) et Pylade sont les vrais héros de l'affaire. Leurs deux timbres se marient et se complètent idéalement, leurs lignes se suivent aisément, leur expréssivité ne sombre jamais dans le superfétatoire, laissant la musique maîtresse légitime des lieux."
- Anne Ibos-Augé, www.diapasonmag.fr
"Los grandes cantantes de la noche fueron, sin duda, Juan Francisco Gatell como Pylades y el Orestes de Philippe-Nicolas Martin. El primero hizo gala de un fraseo elegantísimo y una musicalidad excelsa, amén de una dicción impecable. Martin gustó mucho, también, por un timbre evocador y por su entrega dramática."
- Albert Garriga, www.operaactual.com
Janvier 2023 - Orchestre de Chambre de Génève (Montreux & Genève)
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin est un Mercutio très touchant, frivole et désinvolte dans l’air de la reine Mab dont, vocalement, le baryton ne fait qu’une bouchée, et atteignant une vraie puissance tragique dans sa révolte indignée au finale du III."
- Stéphane Lelièvre, www.premiereloge-opera.com
"...la virtuosité, la plénitude de la voix et le brio du Mercutio de Philippe-Nicolas Martin dans ses couplets de la reine Mab."
- Charles Sigel, www.forumopera.com
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin est un Mercutio très touchant, frivole et désinvolte dans l’air de la reine Mab dont, vocalement, le baryton ne fait qu’une bouchée, et atteignant une vraie puissance tragique dans sa révolte indignée au finale du III."
- Stéphane Lelièvre, www.premiereloge-opera.com
"...la virtuosité, la plénitude de la voix et le brio du Mercutio de Philippe-Nicolas Martin dans ses couplets de la reine Mab."
- Charles Sigel, www.forumopera.com
Décembre 2021 - Opéra Comique (Paris)
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
" Philippe-Nicolas Martin est un chef de bande Montaigu plus que convaincant. Investi physiquement, son « Mab, la reine des mensonges » est un savant équilibre de tenue vocale et de jeu théâtral."
- Romaric Hubert, www.premiereloge-opera.com
"Quant à Philippe-Nicolas Martin, virevoltant avec aisance vocalement et scéniquement pendant les couplets de la Reine Mab."
- Stéphane Lelièvre, www.bachtrack.com
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
" Philippe-Nicolas Martin est un chef de bande Montaigu plus que convaincant. Investi physiquement, son « Mab, la reine des mensonges » est un savant équilibre de tenue vocale et de jeu théâtral."
- Romaric Hubert, www.premiereloge-opera.com
"Quant à Philippe-Nicolas Martin, virevoltant avec aisance vocalement et scéniquement pendant les couplets de la Reine Mab."
- Stéphane Lelièvre, www.bachtrack.com
Interview réalisée en octobre 2021 par Emmanuel Andrieu pour Opera-Online.
Retrouver l'interview complète
Octobre 2021 - Opéra de Tours
Splendiano, dans Djamileh, de Georges Bizet
"Le Splendiano de Philippe-Nicolas Martin porte très bien son nom. Une voix si saine et imposante est un luxe pour un rôle qui ne peut ainsi plus être taxé de secondaire."
- Guillaume Saintagne, www.forumopera.com
"Le baryton projette son chant par un appui lyrique, dans une rondeur au service du phrasé et de l'articulation. Son grand impact vocal porté par un soutien constant ne s'atténue que dans l'aigu (mais franchement) par un excès de velouté cotonneux."
- Charles Arden, www.olyrix.com
"Philippe-Nicolas Martin est physiquement bien jeune pour incarner le « vieux précepteur » Splendiano, mais vocalement superbe."
- Laurent Bury, www.concertclassic.com
Splendiano, dans Djamileh, de Georges Bizet
"Le Splendiano de Philippe-Nicolas Martin porte très bien son nom. Une voix si saine et imposante est un luxe pour un rôle qui ne peut ainsi plus être taxé de secondaire."
- Guillaume Saintagne, www.forumopera.com
"Le baryton projette son chant par un appui lyrique, dans une rondeur au service du phrasé et de l'articulation. Son grand impact vocal porté par un soutien constant ne s'atténue que dans l'aigu (mais franchement) par un excès de velouté cotonneux."
- Charles Arden, www.olyrix.com
"Philippe-Nicolas Martin est physiquement bien jeune pour incarner le « vieux précepteur » Splendiano, mais vocalement superbe."
- Laurent Bury, www.concertclassic.com
Février 2020 - Opéra national de Bordeaux
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin compose un Mercutio dynamique et charismatique. Sa voix clairement projetée tisse un phrasé éloquent aux accentuations vigoureuses et à la diction ciselée. Le timbre scintillant se montre chaleureux, s’affirmant corrélativement à la longueur des rôles confiés au chanteur depuis quelques saisons."
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com
"Philippe-Nicolas Martin expose aussi pour Mercutio un superbe registre bas-médium autant qu’un texte précis, encore mieux projeté que celui de son ennemi..."
- Vincent Guillemin, www.resmusica.com
"Parmi les personnages secondaires se détache très nettement le Mercutio de Philippe-Nicolas Martin, en totale adéquation vocale et scénique avec son rôle."
- Laurent Bury, www.forumopera.com
Mercutio, dans Roméo & Juliette, de Charles Gounod
"Philippe-Nicolas Martin compose un Mercutio dynamique et charismatique. Sa voix clairement projetée tisse un phrasé éloquent aux accentuations vigoureuses et à la diction ciselée. Le timbre scintillant se montre chaleureux, s’affirmant corrélativement à la longueur des rôles confiés au chanteur depuis quelques saisons."
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com
"Philippe-Nicolas Martin expose aussi pour Mercutio un superbe registre bas-médium autant qu’un texte précis, encore mieux projeté que celui de son ennemi..."
- Vincent Guillemin, www.resmusica.com
"Parmi les personnages secondaires se détache très nettement le Mercutio de Philippe-Nicolas Martin, en totale adéquation vocale et scénique avec son rôle."
- Laurent Bury, www.forumopera.com
Interview par Katia Choquer pour Opéra Magazine
Décembre 2019 - Opéra Comique
Landry, dans Fortunio, d'André Messager "Philippe-Nicolas Martin, qui peut tout chanter, de Rameau à Ravel (et au-delà), réussit avec brio ses débuts scéniques parisiens avec un Landry subtil et de haute musicalité." - Jérôme Pesqué, www.odb-opera.com "Philippe-Nicolas Martin donne une belle épaisseur scénique et vocale à Landry, dont il fait le double prosaïque du poétique Fortunio. Comme à son habitude, il est parfaitement compréhensible et soigne constamment sa ligne de chant." - Stéphane Lelièvre, www.premiere-loge.fr "Philippe-Nicolas Martin est un bouleversant Landry aux contours élégants." - Thibault Vicq, www.opera-online.com "Philippe-Nicolas Martin est quant à lui un Landry beau parleur mais sympathique, chantant avec naturel et aisance, parfait contrepoint scénique au personnage de Fortunio." -Claire-Marie Caussin, www.forumopera.com "Le Landry de Philippe-Nicolas Martin semble fait du même bois avec un chant simple et naturel, parfaitement stylé." - Steeve Boscardin, www.resmusica.com "Pas en reste sur ce point Philippe-Nicolas Martin campe un excellent Landry." - Alain Cochard, www.concertclassic.com "Remarquable Landry de Philippe-Nicolas Martin." - Didier van Moere, www.concertonet.com "Philippe-Nicolas Martin fait un Landry vaillant et convainquant, à la voix claire et la diction très précise." - Quentin Laurens, www.webtheatre.fr "De son élégant baryton, clair et rond, Philippe-Nicolas Martin campe un Landry hâbleur mais touchant." - Jean-Marc Piriou, www.bachtrack.com |
Septembre 2019 - Opéra de Saint-Etienne
Les Nuits d'été (intégrale avec orchestre), H. Berlioz
"Délaissant ensuite la version habituelle des Nuits d’été pour voix de femme (soprano et parfois mezzo), c’est Philippe-Nicolas Martin qui les délivre, nouvelle occasion de goûter le timbre d’une chaleur sombre, la classe et la magnifique diction du baryton français: chaque mot paraît ici prononcé avec le poids exact désirable, à tel point qu’on en redécouvrirait presque le texte de Théophile Gautier. Sa prestation démontre à l’évidence que cette version pour voix grave d’homme n’est pas moins légitime quand elle est offerte par un interprète de choix."
- Emmanuel Andrieu, www.concertonet.com
Les Nuits d'été (intégrale avec orchestre), H. Berlioz
"Délaissant ensuite la version habituelle des Nuits d’été pour voix de femme (soprano et parfois mezzo), c’est Philippe-Nicolas Martin qui les délivre, nouvelle occasion de goûter le timbre d’une chaleur sombre, la classe et la magnifique diction du baryton français: chaque mot paraît ici prononcé avec le poids exact désirable, à tel point qu’on en redécouvrirait presque le texte de Théophile Gautier. Sa prestation démontre à l’évidence que cette version pour voix grave d’homme n’est pas moins légitime quand elle est offerte par un interprète de choix."
- Emmanuel Andrieu, www.concertonet.com
Mai 2019 - Opéra Grand Avignon
Belcore, dans L'Elisir d'amore, de G. Donizetti "Le Belcore de Philippe-Nicolas Martin est également une parfaite réussite scénique et vocale. Très à l’aise dans ce rôle qu’il a déjà interprété avec succès à Malte et à Nice, le baryton donne à son personnage un dynamisme et une autorité qui font mouche." - Fabrice Malkani, www.forumopera.com "De son côté, le baryton français Philippe-Nicolas Martin possède exactement le physique du rôle de Belcore - bellâtre militaire à l'imposante carrure et au sourire carnassier -, et offre une interprétation pleine de panache. A son allure machiste, il ajoute une vraie aisance dans les vocalises, une élégance dans la ligne de chant et un timbre vibrant." - Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com "D'autant que le Belcore a la voix et l'allure rigoureuse et martiale de Philippe-Nicolas Martin, la stature en impose comme la ligne de chant expressive et le timbre charpenté." - Charles Arden, www.olyrix.com "Le sympathique Philippe-Nicolas Martin, beau comme il n'est pas permis, de son timbre de bronze rond, haut placé, allie de belle manière prestance vocale et verve bouffe." - Christian Colombeau, www.arts-spectacles.com |
Janvier 2019 - Opéra Grand Avignon
Marcello, dans La Bohème, de G. Puccini "Marcello, incarné par Philippe-Nicolas Martin. La voix de celui-ci ne manque ni de caractère ni de couleurs, soutenue par une présence scénique assurée. Le duo de ces deux amants à la fin de l’acte II ne manque pas de puissance, tant vocale qu’expressive." - Emmanuel Deroeux, www.olyrix.com "En grande forme, le jeune baryton français Philippe-Nicolas Martin est un Marcello lyrique, puissant, et surtout soucieux de faire vivre un personnage complexe." - Emmanuel Andrieu / www.opera-online.com "Nous lui préférons de très loin le baryton Philippe-Nicolas Martin, en Marcello, sans doute la plus belle qualité de voix ce soir, timbre riche et bien projeté, avec un vibrato proche de l’idéal." - IF / www.anaclase.com "Philippe-Nicolas Martin, Marcello imposant et délicat qui ne forcera pas sur le duo." - Jean-Luc Clairet / www.resmusica.com |
Mai 2018 - Opéra de Nancy
Albert, dans Werther, de J. Massenet "Philippe-Nicolas Martin donne de la noblesse et du relief à Albert, que sa jeunesse rend plus tragique encore - il s'effondre littéralement au III, sous un manteau de neige." - Didier Van Moere, www.diapasonmag.fr "Il serait également injuste d'oublier Philippe-Nicolas Martin entendu in loco en mars dernier dans Un Bal masqué où il était déjà un fort beau Christian que nous regrettions de ne pas entendre davantage. Quel plaisir donc de le retrouver ici plus en avant dans le rôle d'Albert ! le baryton offre une ligne de chant claire et précise, un jeu à l'avenant, et donne au personnage toute sa consistance, loin d'être secondaire face aux deux amants malheureux." - Elodie Martinez, www.opera-online.com "Avec son timbre riche et puissant, avec sa technique soignée, Philippe-Nicolas Martin donne un relief inaccoutumé au rôle d’Albert et en traduit avec véracité l’évolution des sentiments." - Michel Thomé, www.resmusica.com "Autour d'eux, Philippe-Nicolas Martin réussit la prouesse d'arracher Albert à la grisaille, mettant en valeur chacune de ses interventions grâce à un timbre coloré." - Laurent Bury, www.forumopera.com "D'un bout à l'autre, on y croit. Albert très stylé de Philippe-Nicolas Martin." - Christian Merlin, Le Figaro "Philippe-Nicolas Martin in carne un Albert fort présent, jeune enfin, avec un réel tempérament et surtout une approche vocale très affirmée de sa voix de baryton posée, au timbre très coloré et relativement puissante." - José Pons, www.olyrix.com "Albert, le mari trompé, amer et désemparé, lorsque Charlotte se précipite dans la neige pour assister Werther dans ses dernières secondes, trouve son interprète rêvé dans Philippe-Nicolas Martin au baryton viril et dynamique." - Beate Langenbruch, www.bachtrack.com "L’Albert sobre et contenu de Philippe-Nicolas Martin s’impose face au couple fatal." - Gérard Condé, www.asopera.fr "Même excellence de la diction chez Philippe-Nicolas Martin, qui fait exister un Albert essentiel à l’intrigue, qu’il compose avec une évidente gourmandise : de l’amoureux un peu benêt au mari enfermé dans sa logique de devoirs, incapable d’imaginer d’autres horizons et anéanti par sa jalousie qui ne lui est même pas un moteur. La voix est belle, ample, impeccablement projetée, précise, et le timbre, bellement coloré, souligne la jeunesse du personnage." - Jean-Luc, http://operaphile.over-blog.com/ |
Janvier 2018 - Opéra de Rouen
Le Prince de Mantoue dans Fantasio, de J. Offenbach
"Quant au baryton Philippe-Nicolas Martin, il campe avec aisance Le Prince de Mantoue et la puissance vocale de lui fait pas défaut pour le bel air "Je ne serai donc jamais aimé pour moi-même".
- Brigitte Cormier, www.forumopera.com
"Pourtant, même dans la colère et la tristesse, le chant bien délié de Philippe-Nicolas Martin conserve sa noblesse à travers tout l'ambitus."
- Charles Arden, www.olyrix.com
Le Prince de Mantoue dans Fantasio, de J. Offenbach
"Quant au baryton Philippe-Nicolas Martin, il campe avec aisance Le Prince de Mantoue et la puissance vocale de lui fait pas défaut pour le bel air "Je ne serai donc jamais aimé pour moi-même".
- Brigitte Cormier, www.forumopera.com
"Pourtant, même dans la colère et la tristesse, le chant bien délié de Philippe-Nicolas Martin conserve sa noblesse à travers tout l'ambitus."
- Charles Arden, www.olyrix.com
Novembre 2017 - Opéra de Nice
Belcore dans L'Elisir d'amore, de G. Donizetti
"De son côté, le baryton français Philippe-Nicolas Martin est bien un « talent à suivre » : le grave a encore gagné en ampleur et le timbre en puissance depuis son Hérault stéphanois, et l’élégance du chanteur, le soin qu’il apporte à la prononciation de l’italien, ainsi que les dons du comédien (doté par ailleurs d’un physique très avantageux) augurent d’un avenir des plus prometteurs."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com
"Philippe-Nicolas Martin possède le physique avantageux de Belcore, et un beau timbre, sonore et élégant."
- Catherine Scholler, Opéra Magazine
Belcore dans L'Elisir d'amore, de G. Donizetti
"De son côté, le baryton français Philippe-Nicolas Martin est bien un « talent à suivre » : le grave a encore gagné en ampleur et le timbre en puissance depuis son Hérault stéphanois, et l’élégance du chanteur, le soin qu’il apporte à la prononciation de l’italien, ainsi que les dons du comédien (doté par ailleurs d’un physique très avantageux) augurent d’un avenir des plus prometteurs."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com
"Philippe-Nicolas Martin possède le physique avantageux de Belcore, et un beau timbre, sonore et élégant."
- Catherine Scholler, Opéra Magazine
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Juin 2017 - Opéra de Saint-Etienne
Le Héraut du roi dans Lohengrin, de R. Wagner "Quand on aura noté la présence scénique et vocale de Nicolas Cavallier en Roi Henri et de Philippe-Nicolas Martin en Héraut, un rôle en rien négligeable qui requiert un vrai grand baryton, on aura compris que cette distribution ne souffrait aucune faiblesse." - Jacques Bonnaure, www.lalettredumusicien.fr "Le Héraut de Phlippe-Nicolas Martin impressionne par son impact..." - Nicolas Grienenberger, www.classiquenews.com "Le héraut de Philippe-Nicolas Martin est une belle découverte. Beaucoup de qualités et d'intelligence chez ce jeune chanteur." - www.odb-opera.com "Philippe-Nicolas Martin campe un fier Héraut, avec toute l’autorité nécessaire." - Laurent Bury, www.forumopera.com "Le héraut très émouvant de Philippe-Nicolas Martin, sonnant comme le jeune Bernd Weikl, donne le ton de ce qui va être une vraie fête vocale." - Jean-Luc Clairet, www.resmusica.com "Le jeune baryton de Philippe-Nicolas Martin, pour commencer, Héraut de robuste autorité." - www.anaclase.com "Philippe-Nicolas Martin incarne un Héraut plein d'énergie" - Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com "...tandis que Philippe-Nicolas Martin se montre un Héraut du Roi convaincant lors de ses appels solennels." - Michel Le Naour, www.concertclassic.com "Quant au héraut de Philippe-Nicolas Martin, là aussi, comme pour ses collègues, la projection est claire et assurée, en parfaite adéquation avec le personnage et la partition." - www.toutelaculture.com "Le Héraut, par la voix de Philippe-Nicolas Martin, n'en a que plus de mérite à appeler et convoquer." - Patrice Henriot, Opéra Magazine |
Avril 2017 - Zellerbach Hall (Berkeley/San Francisco)
Bélus, Un Guerrier romain, Un Guerrier dans Le Temple de la Gloire, de J.-P. Rameau
"Baritone Philippe-Nicolas Martin was an emphatic Bélus"
- Georgia Rowe, www.mercurynews.com
Bélus, Un Guerrier romain, Un Guerrier dans Le Temple de la Gloire, de J.-P. Rameau
"Baritone Philippe-Nicolas Martin was an emphatic Bélus"
- Georgia Rowe, www.mercurynews.com
Mars 2017 - Opéra de Rennes
Don Fernando dans Fidelio, de L. van Beethoven
"Philippe-Nicolas Martin fait preuve de noblesse dans son intervention finale [...]
- Vincent Deloge, www.resmusica.com
"[...] le Don Fernando de Philippe-Nicolas Martin captive, quant à lui, par la conjonction de la beauté du timbre et de l'élégance du phrasé."
- Emmanuel Andrieu, www.classiquenews.com
Don Fernando dans Fidelio, de L. van Beethoven
"Philippe-Nicolas Martin fait preuve de noblesse dans son intervention finale [...]
- Vincent Deloge, www.resmusica.com
"[...] le Don Fernando de Philippe-Nicolas Martin captive, quant à lui, par la conjonction de la beauté du timbre et de l'élégance du phrasé."
- Emmanuel Andrieu, www.classiquenews.com
Décembre 2016/Janvier 2017 - Opéra de Rennes
Taddeo dans L'Italiana in Algeri, de G. Rossini "[...] le Taddeo de Philippe-Nicolas Martin, n'a, quant à lui, rien d u barbon traditionnel, et tient sa partie avec brio et une grande aisance vocale." - Tania Bracq, www.forumopera.com "Formidable Taddeo du jeune Philippe-Nicolas Martin, baryton expressif et drolatique, qui tient la dragée haute à ses partenaires." - Jean-Luc Macia, Opéra Magazine "Philippe-Nicolas Martin confirme la bonne impression récoltée lors d'une première rencontre à l'Opéra de Nantes, dans le rôle du Héraut de Lohengrin." - Thierry Martin, www.unidivers.fr |
Septembre 2016 - Angers Nantes Opéra
Le Héraut du roi dans Lohengrin, de R. Wagner
"[...] le baryton Philippe-Nicolas Martin réussit toutes ses déclarations déclamées en Héraut bien chantant et naturellement puissant."
- Alexandre Pham, www.classiquenews.com
"Le Héraut juvénile mais vaillant de Philippe-Nicolas Martin marque, sauf erreur, les premiers pas du baryton dans le royaume wagnérien [...]"
- Laurent Bury, www.forumopera.com
"Excellent également, le Hérault de Philippe-Nicolas Martin, jeune et brillant espoir parmi les barytons français, qui dessine un énergique et élégant maître de cérémonie, au timbre accrocheur et à l'émission pleine d'aisance, sans rien de pompeux dans ses interventions."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com
"Enfin, Philippe-Nicolas Martin est un Héraut royal appliqué et efficace, digne dans son attitude. Il démontre une puissance vocale que ses précédents rôles ne laissaient pas soupçonner [...]"
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com
"Quoique son intervention soit plus confidentielle, le héraut, interprété par Philippe Nicolas Martin, nous procurera un sentiment des plus agréables, sa voix de baryton lyrique, puissante et bien posée, nous laisse augurer de moments de réel plaisir, [...]"
- Thierry Martin, www.unidivers.fr
Le Héraut du roi dans Lohengrin, de R. Wagner
"[...] le baryton Philippe-Nicolas Martin réussit toutes ses déclarations déclamées en Héraut bien chantant et naturellement puissant."
- Alexandre Pham, www.classiquenews.com
"Le Héraut juvénile mais vaillant de Philippe-Nicolas Martin marque, sauf erreur, les premiers pas du baryton dans le royaume wagnérien [...]"
- Laurent Bury, www.forumopera.com
"Excellent également, le Hérault de Philippe-Nicolas Martin, jeune et brillant espoir parmi les barytons français, qui dessine un énergique et élégant maître de cérémonie, au timbre accrocheur et à l'émission pleine d'aisance, sans rien de pompeux dans ses interventions."
- Emmanuel Andrieu, www.opera-online.com
"Enfin, Philippe-Nicolas Martin est un Héraut royal appliqué et efficace, digne dans son attitude. Il démontre une puissance vocale que ses précédents rôles ne laissaient pas soupçonner [...]"
- Damien Dutilleul, www.olyrix.com
"Quoique son intervention soit plus confidentielle, le héraut, interprété par Philippe Nicolas Martin, nous procurera un sentiment des plus agréables, sa voix de baryton lyrique, puissante et bien posée, nous laisse augurer de moments de réel plaisir, [...]"
- Thierry Martin, www.unidivers.fr
Février 2016 - Opéra de Reims
Le Garde-chasse dans La Petite Renarde rusée, de L. Janacek "Parmi les interprètes, l'on distingue tout particulièrement Philippe-Nicolas Martin, au beau baryton cuivré, qui incarne un garde-chasse forestier étonnamment joyeux, optimiste, bon enfant, affectueux avec sa petite renarde. Son monologue final, d'un lyrisme vibrant et épuré nous transporte dans un monde transcendant, où la nature est reine et l'amour universel. - Elisabeth Bouillon, www.odb-opera.com "On pourra y distinguer l'impeccable Garde-Chasse du baryton Philippe-Nicolas Martin, rendant pleine justice à son monologue terminal, [...]" - François Lehel, Opéra Magazine Février 2016 - Théâtre national de Saint-Quentin-en-Yvelines Le Garde-chasse dans La Petite Renarde rusée, de L. Janacek «[…]la belle présence vocale et scénique du Garde-chasse de Philippe-Nicolas Martin.» - www.lalettredumusicine.fr |
Janvier 2016 - Maison de la musique (Nanterre)
Le Garde-chasse dans La Petite Renarde rusée, de L. Janacek "Philippe-Nicolas Martin campe un magnifique garde-chasse, plein d’humanité. C’est un vrai bonheur que d’entendre ce rôle confié non pas à un chanteur déjà âgé, voire en bout de course, même si le livret prévoit qu’il vieillisse au cours de la représentation." - Laurent Bury, www.forumopera.com «l’excellent baryton Philippe-Nicolas Martin en garde-chasse d’une grande humanité […]» - Bruno Serrou, www.brunoserrou.blogspot.fr «Autre très belle satisfaction avec l’excellent Garde-chasse de Philippe-Nicolas Martin, percutant et engagé,[…]» - Florent Coudeyrat, www.concertonet.com «Il faut surveiller de près dans La Renarde le Garde Forstier de Philippe-Nicolas Martin et la Renarde de Noriko Urata qui promettent beaucoup.» - Jean-Charles Hoffelé, www.concertonet.com |
Octobre 2015 - Opéra de Saint-Etienne
Sganarelle dans Le Médecin Malgré Lui, de C. Gounod "En Sganarelle, Philippe-Nicolas Martin affirme une générosité de grain vocal au diapason des enjeux théâtraux de son rôle, qui signalent d’indéniables qualités de caractérisation." - Gilles Charlassier, www.concertonet.com "La France est décidément un riche vivier de barytons, et l’on souhaite àPhilippe-Nicolas Martin de se voir confier d’autres premiers rôles dont il a parfaitement l’étoffe vocale […]" - Laurent Bury, www.forumopera.com "Sganarelle est servi par l’éclatant Philippe-Nicolas Martin. Il est vrai que son rôle occupe quasiment tout l’opéra, et qu’il l’endosse avec brio. A la fois cabotin et malicieux, un timbre très agréable et un joli phrasé permettent de se laisser embobiner par cet opportuniste, sans qu’il ne force jamais le trait." - Perrine, www.odb-opera.com |
"Philippe-Nicolas Martin verfügt nicht nur über einen traumhaft schön timbrierten lyrischen Bariton, sondern auch über ein großes Maß an Spielfreude. Sein Sganarelle war einfach umwerfend. » / "Philippe-Nicolas Martin possède non seulement une fantastique voix de baryton lyrique, bien timbrée, mais aussi un grand plaisir à jouer. Son Sganarelle était tout simplement époustouflant." - Walter Nowotny, www.der-neue-merker.eu |
Mai 2015 - Opéra royal de Versailles
Chef des bardes dans Uthal, de Méhul "Il [Yann Beuron] est, du reste, le seul de cette brillante distribution, avec Philippe-Nicolas Martin – le chef des Bardes, remarquable de musicalité dans son récit de la scène VIII –, à maîtriser la déclamation des dialogues en alexandrins avec autant d'évidence que de naturel." - Alfred Caron, www.asopera.fr "Philippe-Nicolas Martin a sans doute plus à chanter en tant que « Chef des Bardes », ce dont il s’acquitte à merveille, d’une voix souple et joliment timbrée." - Laurent Bury, www.forumopera.com "Une mention particulière pour Philippe-Nicolas Martin, le Chef des Bardes et baryton assuré." - Pierre-René Serna, wwwconcertclassic.com "Les seconds rôles superlatifs sont dominés par un excellent Philippe-Nicolas Martin [...]" - Florent Coudeyrat, wwwconcertonet.com |
Mai 2015 - Opéra de Clermont-Ferrand Récital 1840 "[...] Philippe-Nicolas Martin, lauréat du Concours international de Chant de Clermont en 2013, est riche en timbre. Son phrasé toujours adapté au contexte mélodique est capable d’un mordant qui ne dénature jamais la subtilité du trait. Il possède une intelligence dramatique et un sens de l’effet ultra maîtrisé qui l’imposent dans bien des registres de sensibilité." "A la part du rêve du baryton jouant autant de la séduction de subtiles inflexions que d’autorité [...]" - Roland Duclos, www.forumopera.com |
Avril 2015 - Opéra d’Avignon
Octave dans Les Caprices de Marianne "Le personnage d’Octave est magistralement interprété par le baryton Philippe-Nicolas Martin, parfaitement à l’aise scéniquement et vocalement, servi par une élocution claire et une grande homogénéité dans les différents registres, disposant lors de cette représentation à Avignon d’une belle projection et d’un sens aigu des nuances." -Fabrice Malkani, _http://www.forumopera.com "[...] tandis que Philippe-Nicolas Martin montre une superbe aisance aux côtés du ténor Cyrille Dubois [...]" - Roland Massabuau, Midi Libre "De même, Philippe-Nicolas Martin sait faire passer par un timbre chaleureux l’aspect libertin et bon vivant du personnage doublé du sens de la solide amitié qui le lie à Coelio." - Jean-Pierre Bergon, ODB-Opéra "Philippe-Nicolas Martin, jeune baryton au timbre gorgé de chaleur, personnage central de ce jeu tragique, libertin fantasque." - Christophe Floquet, www.journalzibeline.fr |
Mars 2015 - Teatro Manoel, La Valetta (Malta) Belcore dans L'Elisir d'Amore "That, despite the fact that Belcore is a hopeless braggart and quite a ridiculous bore – but baritone Philippe-Nicolas Martin’s very fit interpretation had a kind of swagger about it, which carried off his part with some admiration thanks also to characterisation and a voice with which to carry it off." - Albert Storace, www.timesofmalta.com |
Février 2015 - Opéra de Tours
Octave dans Les Caprices de Marianne « […] face au fidèle ami Octave de Philippe-Nicolas Martin, débordant de vitalité, de sincérité et de générosité vocale. » - Philippe Haller, www.lanouvellerepublique.fr « Octave d’une indéniable solidité, Philippe-Nicolas Martin démontre une présence certaine au fil de la soirée, d’où émerge un sens de la nuance qui habille le rôle, et contraste avec la touchante fragilité du Coelio. » - Gilles Charlassier, www.concertonet.com |
Janvier 2015 - Opéra de Marseille
Octave dans Les Caprices de Marianne « Superbe découverte que le baryton lillois Philippe-Nicolas Martin dans le rôle d'Octave : timbre charmeur, chant raffiné et comédien talentueux. » - Emmanuel Andrieu, www.operaonline.com « Philippe-Nicolas Martin, Octave sensible et juste scéniquement. » - Maurice Salles, www.forumopera.com « […] chez les hommes, c’est l’Octave de Philippe-Nicolas Martin qui impose son timbre élégant, sans faille, et son jeu idéal dans l’incarnation du « dragueur » puis de l’ami qui s’humanise au fur et à mesure du développement de l’action. Une prestation superbe. » - Michel Egea, www.destimed.fr "Philippe-Nicolas Martin fanfaronne de belle manière en Octave. Le baryton-loubard impose une écrasante présence naturelle, avec une voix prometteuse, qui, si elle est bien conduite, devrait bientôt nous proposer un Valentin, un Lescaut, un Zurga de grande classe !" - C.Colombeau, www.podcastjournal.net |
Novembre 2014 - Opéra de Metz
Octave dans Les Caprices de Marianne «Philippe-Nicolas Martin, émancipé et en verve, nuance en comédien adroit le registre expressif du personnage d’Octave – s’il ne faut retenir qu’un nom, c’est celui-ci. » - Sébastien Foucart, www.concertonet.com |
Octobre 2014 - Opéra de Reims Octave dans Les Caprices de Marianne « Les interprètes peuvent alors donner libre cours à leurs talents. Pour la première des deux distributions, celle de la soirée de création à Reims, il n’est que de relever une parfaite adéquation, et ce jusqu’au moindre des rôles. Retenons le quatuor principal : (…) la sûreté d’émission de Philippe-Nicolas Martin (Octave, l’ami de l’amant) (...) » - Pierre-René Serna, www.concertclassic.com «Philippe-Nicolas Martin a la prestance, la séduction et la fantaisie du personnage. » - Marie-Aude Roux, www.lemonde.fr «Philippe-Nicolas Martin est doué pour l’émission naturelle et pour la variation de couleurs, rendant sa voix agréable à écouter. » - Victoria Okada, www.resmusica.com «Philippe-Nicolas Martin possède un joli timbre et une élocution claire. » - Laurent Bury, www.forumopera.com «Philippe-Nicolas Martin est un parfait Octave. Epicurien et pour autant fidèle à son ami, il convoque tous les registres du drame qui est entrain de se tramer. » - Sophie Lesort, _www.toutelaculture.com |
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